Clayeures

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Clayeures
Clayeures
Église Saint-Martin.
Blason de Clayeures
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Lunéville
Intercommunalité Communauté de communes Meurthe, Mortagne, Moselle
Maire
Mandat
Christian Cendre
2020-2026
Code postal 54290
Code commune 54130
Démographie
Population
municipale
176 hab. (2021 en diminution de 9,28 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 28′ 22″ nord, 6° 24′ 24″ est
Altitude Min. 252 m
Max. 351 m
Superficie 9,21 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lunéville-2
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Clayeures
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Clayeures
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Voir sur la carte topographique de Meurthe-et-Moselle
Clayeures
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Clayeures

Clayeures est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Clayeures
Einvaux Landécourt Moriviller
Froville Clayeures
Borville Rozelieures

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 859 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 9,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Roville », sur la commune de Roville-aux-Chênes à 17 km à vol d'oiseau[3], est de 10,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 833,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40 °C, atteinte le ; la température minimale est de −24,5 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Clayeures est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48 %), prairies (21 %), forêts (17,3 %), zones agricoles hétérogènes (6,5 %), cultures permanentes (4,2 %), zones urbanisées (2,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le village est connu en 1157 dans un document relatif à une donation par Hilin, archevêque de Trèves à l'abbaye de Belchamp[14] sous le nom de Clausuris, puis de Cleura en 1176. On retrouve ensuite ce toponyme sous diverses formes : Claiures en 1296, Cleures en 1300, Claures en 1309[15] et Cloeure en 1489[16].

Le verbe latin Claudere a donné le substantif clausus au sens d'enclos, enceinte, mot qui pourrait expliquer la toponymie. Ernest Nègre voit dans ce toponyme le croisement des mots de langue d'oïl claie et closure[17]. Si l'on accepte cette origine, le toponyme remonterait à l'époque gallo-romaine.

En lorrain roman, Clayeures se prononce Thaiyûre[18].

Le journaliste et auteur René-Marc Ferry (1864-1912) fondateur de la revue MINERVA, signait parfois avec le pseudonyme Clayeures[19]. Selon la monographie de 1888, une famille de seigneurs du lieu aurait porté le nom de la commune[20].

Histoire[modifier | modifier le code]

Dans le droit de l'ancien duché de Lorraine, il existait des mairies qui servaient de cour d'appel pour d'autres mairies. C'est ainsi que la mairie d'Houdreville était la mère-cours de Clayeures. Son maire et son échevin étaient habilités à vider en dernier ressort les appellations (appels) apportées dudit lieu de Clayeures[22].

Dès le XIIe siècle, les abbayes de Beaupré, de Belchamp et de Clairlieu avaient des possessions foncières sur le territoire de Clayeures[23].

En 1157, Hillin de Falmagne archevêque de Trêves confirme la donation en faveur de Belchamp du droit de pâturage sur une partie du ban de Clayeures (in banno Clausuris). En 1176, Gobert de Blainville donne au couvent de Beaupré le droit de pâturage sur une autre partie du territoire (in banno Cleura)[23].

En 1233 le duc Mathieu II confirme une donation en faveur de l'abbaye de Clairlieu du droit de patronage et de collation de la cure de Cleures[23],[24] (Clayeures).

En juillet 1296 un nommé Jenin, de Clayeures, vend au duc Ferry III le tiers du bois de Clayeures de lez mars (Lamath)[23].

Clayeures est qualifié de fief dans le dénombrement de 1594[25].

A la fin de la guerre de Trente Ans, en 1644, le village ne compte plus que 4 ménages. En 1710, il n'y a encore que 30 habitants. À cette époque, la seigneurie de Clayeures était partagée en parts inégales entre le comte de Raigecourt, Mme de Bellerose et le marquis d'Eudicourt[23].

En 1704, Clayeures fait partie de la prévôté de Rosières et du haut-conduit de Salins l'Étape[26] (voir la page de Drouville pour la description d'un haut-conduit).

Le 9 mars 1778, le comte de Raigecourt-Fontaine et son fils vendent à Pierre-Remi1 de Bellerose les 3/5e de leur seigneurie de Clayeures[25].

En 1788, les chanoines de Belchamp et le seigneur évêque de Nancy déclarent la portion de dîme qu'ils perçoivent à Clayeures[27].

Dans le procès-verbal de l'assemblée général des trois ordres, lors des états généraux de 1789 pour le bailliage de Rozières (Rosières-aux-Salines), on trouve la signature de Louis-Benoît de Bellerose, seigneur de Clayeures[28].

Parmi les émigrés de la Révolution française, on note :

Pierre-Remy de Bellerose né à Clayeures en 1742, ancien lieutenant-colonel dans le régiment de chasseurs de Picardie. Il est noté « émigré » le 17 juillet 1792 et « décédé en émigration » le 14 juin 1807 ;

Charles ou François André, cultivateur à Clayeures ;

André, fils de François André, apprenti-menuisier à Clayeures[29].

(1) : à cette époque, le prénom Remy ne prend jamais d'accent en Lorraine. Voir la page de Domremy-la-Pucelle pour plus de détails.

À la suite de la défaite de Waterloo, Clayeures est momentanément occupé par des soldats russes en 1815[27].

En 1843, il y a 47 ha de vignes sur le territoire communal[25] ; en 1888, il y en a 42. Le vin de Clayeures est réputé d'assez bonne qualité à cette époque[20].

En 1851, 141 habitants du village signent une pétition demandant la révision de la constitution[30].

En 1888, on cultive encore 4 ha de houblon mais cette production diminue[20].

En 1891, il y avait au village dix cultivateurs, deux boulangers, deux cabaretiers, un charron, un menuisier, deux cordonniers, deux épiciers, deux maréchaux-ferrants, un tailleur et deux tonneliers[31].

Le 16 décembre 1911, le premier téléphone est mis en service à Clayeures[32].

En 1916, on arrête encore dans la commune un vendeur d'allumettes de contrebande[33].

En 1922, il y a seize agriculteurs-propriétaires, un buraliste, trois cafetiers, un charron, un coiffeur, deux couturières, un épicier, un forgeron, trois maçons, un menuisier, une mercière, une repasseuse, un scieur tourneur sur bois et deux tonneliers[34].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1788 14 février 1790 Joseph Pierrot   vigneron
représentant du tiers état
14 février 1790   François Beauvouloir   curé de la paroisse
avant septembre 1810   Jean-Charles André    
  1885 Richard   révoqué[35]
avant 1922   Auguste André[36]    
1935 après juin 1940 Auguste André[37]   réélu en 1935
         
avant 1988 mars 2001 Michel Hinzelin    
mars 2001 26 juillet 2005 Paul Simonin DVG décédé en cours de mandat
juillet 2005 juillet 2020 Jean-Marie Brocheray    
juillet 2020 En cours
(au 3 juillet 2020)
Christian Cendre    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].

En 2021, la commune comptait 176 habitants[Note 4], en diminution de 9,28 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
317294353417430466485483494
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
462455411387381378382347328
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
296313268238214216212208206
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
192184156148153177184197184
2021 - - - - - - - -
176--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Martin.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Château XVIIIe siècle vendu comme bien national en novembre 1794.
  • Église Saint-Martin XVIIIe siècle.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Clayeures Blason
Blasonnement : d’or à la tour de sable ajourée et ouverte du champ, accostée de deux bracelets ouverts à dextre adossés de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Blason populaire[modifier | modifier le code]

Dans le dialecte régional, les habitants sont surnommés les woittes éthiules : les sales écuelles[18]. Ils sont aussi surnommés les harengs[42] et plus rarement les oua-oua[27].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Clayeures et Roville-aux-Chênes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Roville », sur la commune de Roville-aux-Chênes - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Roville », sur la commune de Roville-aux-Chênes - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Henri Lepage (1814-1887), Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département, vol. 1, (lire en ligne), p. 242.
  15. Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Dictionnaire géographique de la Meurthe, rédigé d'après les instructions du comité des travaux historiques et des sociétés savantes... Par Henri Lepage,... Avec une carte du département au Xe siècle, (lire en ligne), p. 77
  16. Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Archives communales et hospitalières de la Meurthe, par Henri Lepage,..., (lire en ligne), p. 184
  17. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, volume I, Genève, Librairie Droz S.A., (ISBN 9782600028837), p. 282.
  18. a et b Vital Collet et Musée lorrain (Nancy) Auteur du texte, « Le Pays lorrain : revue régionale mensuelle illustrée / dir. Charles Sadoul », sur Gallica, (consulté le ), p. 504.
  19. « René-Marc Ferry », sur medias19.org (consulté le ).
  20. a b et c « Clayeures », sur galeries.limedia.fr, (consulté le ), p. 6.
  21. Société d'archéologie lorraine. Auteur du document :Laurent OLIVIER, Campagne de sauvetage programmé de la nécropole de La Naguée, à Clayeures et Musée lorrain (Nancy). Auteur du texte, « Le Pays lorrain : revue régionale bimensuelle illustrée / dir. Charles Sadoul », sur Gallica, (consulté le ), p. 197.
  22. Charles (1872-1930) Auteur du texte Sadoul, Essai historique sur les institutions judiciaires des duchés de Lorraine et de Bar avant les réformes de Léopold Ier / thèse pour le doctorat en droit par Charles Sadoul ; Université de Nancy. Faculté de droit, (lire en ligne), p. 74
  23. a b c d et e Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département… Volume 1 / par Henri Lepage, (lire en ligne), p. 242
  24. Société d'histoire de la Lorraine et du Musée lorrain Auteur du texte, « Bulletin de la Société d'archéologie lorraine », sur Gallica, (consulté le ), p. 183.
  25. a b et c Le département de la Meurthe. Deuxième partie : statistique historique et administrative / publ... par Henri Lepage, (lire en ligne), p. 121-122
  26. Lorraine (Duché) Auteur du texte, Recueil des édits ordonnances, déclarations, tarifs, traités, règlemens et arrêts sur le fait des droits de haut-conduit, entrée et issue... foraine, traverse, impôt sur les toiles et acquits à caution de Lorraine et Barrois, avec une instruction pour les receveurs des droits de la marque des fers, (lire en ligne), p. 9
  27. a b et c André Sylvestre, Si Clayeures m'était conté, Moissac, Imprimerie de la Mothes, , 203 p., p. 28 ; 49
  28. Louis de (1830-1903) Auteur du texte La Roque, Catalogue des gentilshommes de Lorraine et du duché de Bar qui ont pris part ou envoyé leur procuration aux assemblées de la noblesse pour l'élection des députés aux États généraux de 1789 : publié d'après les procès-verbaux officiels / par MM. Louis de La Roque et Édouard de Barthélemy, (lire en ligne), p. 13
  29. Bulletin d'histoire économique et sociale de la Révolution française, (lire en ligne), p. 89 ; 91 ; 117
  30. « Le Constitutionnel : journal du commerce, politique et littéraire », sur Gallica, (consulté le ).
  31. « Almanach-annuaire de l'arrondissement de Lunéville », sur Gallica, (consulté le ), p. 27.
  32. « L'Est Républicain », sur kiosque.limedia.fr (consulté le ), p. 2.
  33. « L'Est Républicain », sur kiosque.limedia.fr (consulté le ), p. 2.
  34. « Annuaire administratif, statistique, historique et commercial de la Meurthe... », sur Gallica, (consulté le ), p. 1210.
  35. « Le Petit Troyen : journal démocratique régional ["puis" journal quotidien de la démocratie de l'Est "puis" grand quotidien de la Champagne] », sur Gallica, (consulté le ).
  36. « Annuaire administratif, statistique, historique et commercial de la Meurthe », sur Gallica, (consulté le ).
  37. "https://kiosque.limedia.fr/ark:/31124/dpg498s0r698dvsw/p5.item.r=clayeures"
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. Jean Spaite, Étude sur le saint patronage les appellations officielles et les sobriquets dans les villages de la Meurthe et Moselle arrondissement de Lunéville, Nancy, Imprimerie apache Color, , 247 p., p. 141